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Je vous invite à plonger dans un océan de déchets, une métaphore saisissante de notre société de consommation. Ces images, mettent en évidence l'accumulation vertigineuse de déchets de toutes sortes, un fléau qui menace notre planète.

"Cheminements" est une œuvre qui invite à une profonde introspection. Les mains, à la fois outils et symboles, sont ici présentées dans une posture universelle de supplication ou d'offrande. La peau, marquée par le temps et l'expérience, raconte une histoire de vie, de parcours personnel, unique et irréversible.

Dans le silence imposé par le confinement, la nature a repris ses droits. Ces paysages, figés dans le temps, témoignent d'une parenthèse inattendue, où l'activité humaine s'est brusquement interrompue.

Je perçois cette série comme une invitation à une introspection profonde sur notre rapport à l'identité à l'ère numérique. En juxtaposant ces portraits générés et ces codes QR, je ressens une tension palpable entre l'individu, tel que nous aimons le percevoir, et l'individu réduit à ses données, à un simple ensemble d'informations.

"Éros" est une exploration intime des cicatrices émotionnelles laissées par une rupture amoureuse. À travers une série de photographies monochromes, Ludovic Bourgeois nous invite à un voyage au cœur de la mémoire du corps.

La série "Balance" nous invite à une exploration profonde de la notion de dualité au sein d'une relation amoureuse. En confrontant deux êtres qui s'aiment, l'artiste met en lumière l'illusion d'une identité miroir, tout en soulignant les subtiles différences qui les distinguent.

Sans énergie créatrice, d'un geste naturel en recherche d'espoir, Ludovic Bourgeois relève la tête vers le ciel. Dans cet espace, trait d'union entre la Terre et l'Univers, Ludovic Bourgeois puise les trajectoires qu'il veut nous donner à voir dans sa série Anxiogène.

Journal d'une illusion photographique", est une promenade mélancolique à travers les lieux de mon enfance, empreints de souvenirs et de nostalgie. À travers le prisme d'un téléphone portable de première génération, je capture des instants suspendus, où le passé et le présent se télescopent.